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Corum : trois nouvelles Bubble "de la mort qui tue"


Corum : trois nouvelles Bubble "de la mort qui tue"

Q Es El Corum Replique poursuit donc le grand retour de la Bubble avec l’arrivée de ces trois nouveaux modèles dotés de boitier en acier de 47 mm qui accueillent un calibre mécanique automatique (42h de réserve de marche) et des cadrans qui mettent la tête de mort à l’honneur !
 
Mais ce qui caractérise ces nouvelles montres, ce sont bien évidemment leurs cadrans. Trois versions différentes : la plus exclusive (38 ex.) est celle avec son boitier acier et sa tête de mort arborant un chapeau haut de forme (modèle Voodoo). Les deux autres éditions (modèles Pirate), celles en PVD noir, sont commercialisées à 88 et 138 exemplaires.  


Corum : trois nouvelles Bubble "de la mort qui tue"

La marque 8 Ocak Çorum’da Okullar Tatil Mi Replique a toujours su se placer à l’avant-garde de la manufacture horlogère suisse, jouant toujours les cartes de l’ingéniosité et de l’audace. L’Admiral’s Cup est son modèle emblématique.À La Chaux-de-Fonds, en Suisse, Gaston Ries avait ouvert son atelier d’horlogerie depuis trente ans quand il appela son neveu à ses côtés. Avec celui-ci, René Bannwart, la marque Corum – simplification de Quorum – est née et une nouvelle maison horlogère fondée. D’entrée, en 1955, Corum a choisi de se placer à l’avant-garde, prenant pour emblème une clef dressée vers le ciel, symbolisant un mystère à percer, de nouveaux territoires à explorer, mais aussi l’ingéniosité, la persévérance, l’audace nécessaires à l’horloger pour maîtriser le temps.Une marque révolutionnaire.Les premières montres sortent dès 1956 et, en 1958, un audacieux modèle en chapeau chinois voit le jour. Le modèle qui deviendra la pièce emblématique de Corum sera conçu en 1960 dans les ateliers de La Chaux-de-Fonds. Il s’agit bien sûr de la première Admiral’s Cup, avec son boîtier carré. Et si la marque compte aujourd’hui quelque cent cinquante références, l’Admiral’s Cup fait toujours partie de ses quatre piliers, avec la Romvlvs, la Corum Bridges – dont le mouvement de baguette est breveté – et les montres d’artisans. Corum n’a jamais cessé de se présenter comme une marque révolutionnaire, présentant tour à tour la Monnaie or, conçue avec une pièce de 20 dollars or, en 1964, la Buckingham, aux proportions surdimensionnées, un an plus tard, mais aussi la Rolls Royce, issue d’un partenariat avec le constructeur automobile, et, en 1986, la Météorite, dont le cadran est taillé dans une véritable pierre de l’espace.

Rappelons que la Bubble fait partie des montres recherchées sur le marché de l’occasion (et qui « tiennent la côte » comme on dit dans ce milieu). Design original et symbole d’une époque. Ce garde-temps a clairement révolutionné l’industrie horlogère… Non pas par ses complications, mais par son look totalement décalé dans le monde du luxe.
 
De nos jours, c’est monnaie courante, mais à l’époque, c’était une petite révolution. Personne n’avait encore jamais osé proposer des montres funs (à part Gérald Genta) dans l’univers feutré et sérieux de l’horlogerie haut de gamme.
 
La Bubble apparait pour la première fois en 2000. Il s’agissait alors d’une montre surdimensionnée munie d’un verre saphir élargi. Un design radical (avec tête de mort sur le cadran et sabres en guise d’aiguilles pour certains modèles) qui devint aussitôt un must du troisième millénaire. Seize ans plus tard, la Bubble a effectué son grand retour, s’imposant enfin comme un véritable pilier de l’héritage horloger Corum. Il était temps de le reconnaitre…   


Corum : trois nouvelles Bubble "de la mort qui tue"


Corum : trois nouvelles Bubble "de la mort qui tue"