Piaget Miss Protocole iPhone
Miss Protocole, la montre la plus versatile de Piaget, repousse encore une fois les limites de la tendance et de l’originalité : pour fêter ses dix ans, elle s’offre le luxe de transfigurer dix accessoires de mode différents. Avec Miss Protocole, le temps ne se portera jamais plus jamais comme avant.
Rarement une montre a fait preuve d’autant d’audace et de panache dans l’art de se réinventer. Ses bracelets interchangeables, aussi extravagants qu’insolites, se sont déjà parés de vison, d’alligator, de plumes ou de satin. Des diamants, de l’or, de l’émail et de la nacre lui ont aussi permis de se métamorphoser au travers de son cadran à de multiples reprises.
Depuis une décennie, Miss Protocole bouscule sans relâche et avec une insolente fraîcheur les codes de l’horlogerie féminine.
Pour son dixième anniversaire, Miss Protocole associe dix accessoires de mode aux célébrations : robe de soirée, chapeau haut de forme, talons aiguilles, bracelet, cravate, foulard, porte Iphone, gant en cuir, sac à main et ceinture proposent désormais une lecture insolite du temps.
Signe de la créativité et de la dextérité des artisans de Piaget, Miss Protocole vit en parfaite symbiose avec ses parures de soie, cuir, alligator ou feutre. Elle leur offre même une dimension esthétique, fonctionnelle et ludique en plus. A l’image du gant de voyage aux cinq montres, pour autant de fuseaux horaires. Ou des souliers aux cristaux rouges rendus incandescents. Ou encore du porte I-phone en alligator noir, avec son gardien du temps aux attaches et au cadran sertis, tout droit sorti du futur.
Dix accessoires uniques, dix clins d’œil au monde de la mode. Comme pour mieux célébrer Miss Protocole et son statut incontesté d’icône intemporelle.
Avoir un quart de siècle d’existence et pouvoir parler d’une croissance continue tient presque du miracle dans un monde où les crises semblent se succéder à un rythme de plus en plus rapide. Ainsi, en 1991, la première édition du Salon international de la haute horlogerie rassemblait à Genève cinq maisons. Aujourd’hui, tout juste vingt-cinq ans plus tard, le même rendez-vous, pensé et mis en scène avec un savoir-recevoir unique en son genre et conforme à l’idée que l’on peut se faire du luxe, accueille 24 marques de prestige. En partant vivre de nouvelles aventures créatives, la maison Ralph Lauren laisse sa place à neuf nouvelles marques issues du petit cercle d’irréductibles que les professionnels du secteur appellent la « nouvelle horlogerie ». Un nom retenu en raison du choix des acteurs: construire leur univers mécanique autour de la déstructuration de la lecture de l’heure. On pense à HYT et son affichage hydraulique, à Hautlence et ses heures sautantes, à Urwerk et ses modules rotatifs, mais aussi à MB & F, à la manufacture De Bethune ou à Christophe Claret. Les autres maisons, comme Voutilainen, Laurent Ferrier ou H.Moser & Cie, plus classiques, ont assurément plus de mal à se détacher du lot, car la concurrence est rude et le monde du très haut de gamme n’a pas pour habitude de faire dans les sentiments. A suivre!
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