Haute qualité Une nouvelle étoile brille pour Piaget Replica Watches Essentials

Pour renforcer les proportions de cette pièce, une fine croix bleue autrefois présente dans les premières versions de l’Altiplano, offre au cadran une élégance discrète et équilibrée. A noter que le logo historique de Piaget qui orne le cadran rappelle quant à lui, la première Altiplano.à l’intérieur de ce fin bo?tier est placé le calibre 1200P ? maison ? tout aussi fin ; ce mouvement mécanique automatique fait seulement 2,35 mm d’épaisseur et se laisse admirer grace à la présence d’un verre saphir placé sur le dos du bo?tier : C?tes de Genève circulaires, ponts anglés, platine perlée et vis bleuies.A noter que cette montre à gousset ? heures et minutes ? peut se transformer en horloge lorsqu’elle est placée au centre d’un présentoir de marqueterie bleue, souligné par de minces marqueurs. Sur le cadre circulaire, la marqueterie de paille est le résultat d’un travail de précision qui s’apparente à celui de la marqueterie de bois (on le retrouve chez Hermès et Vacheron Constantin). Pour ce faire, l’artisan sélectionne les morceaux de paille en fonction de leur teinte afin de respecter les contrastes, les nuances et la texture du dessin.

Applaudie dans le monde entier, la danseuse étoile du ballet de I’Opéra de Paris Dorothée Gilbert est une personnalité charismatique, amoureuse de la vie… et des bijoux. La Maison Piaget est heureuse de l’accueillir aujourd’hui comme égérie pour la France.

Sous le sceau de la passion

Tout a commencé par une belle rencontre, comme souvent dans l’histoire de Piaget. Il y a deux ans le photographe James Bort crée pour Pinterest, sur le thème « La Vie en Rose », un tableau très remarqué puisqu’il est… en noir et blanc. Invité à la soirée que donne la Maison aux Tuileries, l’artiste vient avec sa femme. Dorothée Gilbert. Entre la jeune femme et Olivier Perruchot, Directeur Général Piaget France et Royaume-Uni, la complicité est immédiate.

Depuis cette petite bague de son arrière-grand-mère, admirée enfant dans la maison toulousaine, Dorothée Gilbert raffole des bijoux, surtout des diamants. Olivier Perruchot lui propose alors de venir visiter la manufacture Piaget de La-Côte-aux-Fées. « J’ai découvert un monde de patience et de précision qui m’a fascinée. La minutie dont fait preuve chaque artisan est au-delà des mots. Et voir le bijou fini représente une telle émotion, l’histoire qu’il raconte représente tellement d’heures de travail. Quel spectacle captivant pour moi qui ai tant besoin d’espace et de bouger ! »

Un rêve exaucé

Le partage des valeurs communes devient évident. Fidèle à son histoire, ponctuée de complicités avec les artistes tels qu’Andy Warhol ou Salvador Dali, pour ne citer qu’eux. la Maison demande à Dorothée Gilbert d’être son ambassadrice Piaget en France. Elle accepte sur le champ. « C’est un rêve de petite fille de jouer à la princesse. Je suis en train de le réaliser ! Quelle femme ne craque pas devant les vitrines de la rue de la Paix ? Les bijoux Piaget me suivent au quotidien. Je suis heureuse que la Maison me veuille en tant que femme, et pas seulement comme danseuse.

Capturer le monde

Rayonnante de féminité, Dorothée Gilbert respire la joie de vivre. Celle d’une artiste comblée, consacrée sur toutes les plus grandes scènes du monde, en tournée avec le ballet de l’Opéra de Paris ou invitée par les compagnies les plus prestigieuses. De Sydney à Tokyo, de New York à Moscou, de Toronto a Saint-Petersbourg, Dorothée Gilbert sillonne la planète, postant avec parcimonie les instants qui raviront ses tans – des dizaines de milliers sur Instagram et Facebook, du jamais vu pour une danseuse. La vidéo de quelques fouettés exécutés avant un gala à Taipei – où I’étoile danse avec ses bagues Possession – a déjà été vue 50 000 fois !

Vivre pour I’art

A peine rentrée de ce gala Taïwanais, l’étoile enchaîne les répétitions pour « L’Histoire de Manon » de Kenneth MacMiIIan. « Je suis très heureuse car je rêvais de le danser. Il était dans ma « to want list ».

Derrière cette simplicité naturelle, se cachent des heures et des heures de travail. Même si, à ses yeux, la technique n’est qu’un moyen de transmettre l’émotion, le public salue unanimement son don de se jeter dans les grands rôles dramatiques. Roméo et Juliette, Eugène Onéguine, La Dame aux Camélias. La devise qui anime la Maison Piaget depuis plus de cent-quarante ans, « Faire toujours mieux que nécessaire », résonne alors en total écho avec la danseuse. Comment, en effet, ne pas établir un parallèle entre cette quête du plaisir esthétique qui anime Piaget et ces rôles par lesquels Dorothée Gilbert transporte ses spectateurs ? La liberté créative que cultive la Maison pour offrir des collections joaillières et horlogères ancrées dans leur époque, la virtuosité de ses artisans passionnés de perfection sont au diapason de l’artiste qui s’exprime sur la scène : son immense talent d’interprétation exige une technique au plus haut niveau.

Une femme dans son époque

Pour photographier sa nouvelle ambassadrice, la Maison s’est naturellement adressée à James Bort, sans lequel cette aventure n’existerait pas. « J’arrive toujours vierge à une séance photo car j’aime découvrir ce que le photographe voit en moi. Je lui laisse carte blanche, surtout lorsqu’il s’agit de mon mari ! »

Magie du temps, la mission d’ambassadrice Piaget France de Dorothée Gilbert coïncide avec le lancement de la bague Possession. Entre l’étoile et bijou talisman qui, d’un seul effleurement de son anneau tournant, libère son énergie complice, la relation est fusionnelle.