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Blancpain Villeret


Blancpain Villeret
RAYVILLE-BLANCPAIN AFFRONTE LES ALéAS DES MARCHéS HORLOGERS.Dés 1950, Rayville-Blancpain dépasse le seuil annuel de 100 000 montres. Un record qui, en 1971, ne cesse pas de cro?tre et explose aux 200 000 exemplaires grace à la fusion avec SSIH (Sté Suisse de l’Industrie Horlogère. Rayville-Blancpain se déploie auprès de Oméga, Tissot et Lemania.Malheureusement, cette impressionnante ascension sera stoppée et ce pour l’intégralité du monde horloger. En effet, vers les années 70, le marché des montres à quarts vient bousculer les tendances. De surcro?t, la valeur du dollar baisse face au franc suisse et diminue ainsi les exportations outre Atlantique. C’est en 1973, que le fléchissement de l’activité mondiale s’impose avec la hausse massive et importante des cours du pétrole.Face à ces événements, la Société Suisse de l’Industrie Horlogère est dans l’obligation de diminuer de 50% sa productivité de montres et va même jusqu’à vendre une partie de son patrimoine. Elle cède à Jacques Piguet, fils de Frédéric Piguet et directeur de l’entreprise éponyme, et Jean-Claude Biver, alors employé de la SSIH. le nom Rayville-Blancpain au profit de sa nouvelle appellation : Blancpain S.A. La société s’implante dans la vallée de Joux : au Brassus.

La collection Villeret de chez Blancpain fait référence au nom du village natal de la manufacture (désormais installée au Brassus). Cette filiation explique l’aspect authentique et tradition de ces montres toute en sobriété…
 
Cette année, la manufacture revient avec un nouveau modèle ; il s’agit d’une montre trois aiguilles date, automatique, avec cadran émail grand feu qui s’illustre par sa sobriété. L’utilisation de l’émail grand feu réaffirme l’attachement de Blancpain aux savoir-faire historiques de l’horlogerie. Ce matériau inaltérable qui conserve son éclat indéfiniment est particulièrement adapté à l’habillage d’une pièce à l’esthétique classique.
 
Rappelons ce procédé, toujours délicat à mettre en œuvre, nécessite une succession de plusieurs couches d’émail soumises à des températures supérieures à 1000°C. Les chiffres, peints en émail, subissent aussi l’épreuve –risquée- du four. Après chaque opération, le cadran est soigneusement visité et retouché manuellement car le procédé est rendu ici encore plus complexe par la forme bombée du cadran. « Sa terminaison exige un savoir-faire particulier que Blancpain est aujourd’hui en mesure de proposer » assure la marque dans son communiqué.
 
Clin d’oeil à la tradition, le cadran en émail grand feu révèle selon les reflets de la lumière le logo « JB » gravé ton sur ton entre les chiffres 4 et 5, 7 et 8. C’est par cette signature secrète que les émailleurs d’autrefois paraphaient leurs oeuvres. C’est également un excellent moyen de vérifier qu’il ne s’agit pas d’une contrefaçon…
 
Ce nouveau modèle est doté d’un boîtier double pomme en or rouge, et des aiguilles feuilles de sauge évidées. Le cadran est animé par un quantième à 3h, ainsi qu’une seconde centrale. Le fond saphir permet d’admirer le jeu des décors, Côtes de Genève pour le mouvement, Nid d’abeille réalisé sur la masse.
 
Côté moteur, ce modèle mécanique à remontage automatique est instrumenté par le Calibre Maison 1335 disposant d’une remarquable réserve de marche de 8 jours. D’un diamètre de 42mm, livré avec un bracelet chocolat en alligator, ce nouveau modèle s’annonce comme « un maillon fort de l’emblématique collection Villeret ».
 
Réf: 6630-3631-55B