Réplique au meilleur prix Blancpain Villeret Chronographe Pulsomètre : coup de cœur !

Blancpain Villeret Chronographe Pulsomètre : coup de cœur !


La première montre-bracelet automatique est lancée en 1926. Elle est le fruit d’une étroite collaboration avec John Harwood. C’est en 1930 que Montre Blancpain La Plus Chere Replique applique ce principe aux montres de petite taille et crée la “Rolls” de formes rectangulaires de Léon Hatot. Cette oeuvre unique est la toute première montre automatique dame au monde.“Villeret” se revêt de son anagramme phonétique de “Rayvillelors que Frédéric-Emile Blancpain s’éteint en 1932, Berthe-Niele, sa fille, seule héritière, ne tient pas à poursuivre la tradition horlogère vielle de 200 ans. Elle décide en 1933 de vendre la manufacture familiale à Betty Fiecher et André Léal, les deux assistants fidèles de son père. C’est alors que la manufacture Villeret revêt son nouveau nom : Rayville non pas par choix mais pour répondre aux obligations de la loi de l’époque qui impose la modification de raison sociale. Rayville S.A. succ. de Blancpain reprend dans son intégralité l’esprit et les caractéristiques de la manufacture. Un nouvel essor sera insufflé en 1950 grace à Betty Fiechter, encore à la Direction de Blancpain et à son neveu Jean-jacques Fiechter.
Blancpain Villeret Chronographe Pulsomètre : coup de cœur !

Pour rester en phase avec l’esthétique classique de la collection Villeret, ce nouveau modèle Chronographe Pulsomètre de chez Montre Blancpain Super Trofeo Replique présente un cadran épuré en émail grand feu bombé blanc. Quant à l’échelle pulsométrique, elle entoure les index en chiffres romains peints en émail. Le centre laisse place aux compteurs 30 minutes (à 3h) et 12 heures (à 9h) du chronographe ainsi qu’à un guichet de date à six heures. Au dos, le fond saphir laisse apparaitre le dernier né des calibres Blancpain à la masse décorée nid d’abeille. Attention cependant, cette pièce particulièrement réussie est dotée d’un large boitier en or rouge de 43.6 mm de diamètre qui s’habille d’un bracelet en alligator brun.
 
Ce modèle intègre un nouveau calibre manufacture de 13 lignes qui s’adapte à la taille de la boite ; les amateurs apprécieront. Ce mouvement dont le coeur bat à 36’000 alternances/heure (tout comme le fameux El Primero de chez Zenith), une première chez Blancpain, comprend 322 composants dont un spiral en silicium. Il est doté d’un embrayage vertical ainsi que d’un mécanisme de chronographe commandé par une roue à colonne. Il dispose également d’une fonction flyback permettant une remise à zéro et un redémarrage instantané du chronographe par simple pression sur le poussoir situé à 4 heures, un dispositif qui s’avère très utile lors de la mesure de laps de temps successifs.
 
A ces fonctions vient s’ajouter pour la première fois un pulsomètre. Rappelons que cette ancienne fonction quelque peu tombée en désuétude de nos jours permettait aux médecins et aux infirmières de contrôler le pouls de leurs patients. Alors qu’à l’époque, la prise du pouls demandait un temps de mesure de 60 secondes pendant lequel il fallait compter le nombre de pulsations avec exactitude, le pulsomètre a été conçu pour mesurer plus rapidement le pouls d’un malade.
 
En effet, l’aiguille du chronographe est associée à une échelle aux graduations particulières qui permet, après seulement 30 pulsations (d’où la mention « base 30 » sur le cadran), d’afficher directement et sans calcul, la fréquence des pulsations cardiaques du patient sur le cadran. Il suffit donc de lancer le chronographe, de compter 30 pulsations puis de l’arrêter. L’aiguille indique alors, sur la graduation du pulsomètre, le nombre de pulsations à la minute.